gilet jaune
Le 16e samedi de mobilisation n’a pas été à la hauteur des attentes. Le nombre de manifestants est visiblement en baisse même si les chiffres du ministère de l’Intérieur n’ont, comme chaque semaine, aucune crédibilité. Les gilets jaunes sont moins présents, mais ils ne sont toujours pas rentrés chez eux, la défaite en bandoulière. En
Chassez le naturel, il revient au galop. Alors que Macron prétend depuis six semaines que le dialogue est renoué et que les insultes sont rangées au placard, il ne peut s’empêcher d’exprimer tout le mal qu’il pense des gilets jaunes. De simples Français qui ont l’audace de défier sa politique, cela n’est pas très nouveau
Comme annoncé, les insultes contre Alain Finkielkraut ont phagocyté l’acte XIV des gilets jaunes. Les éditorialistes et le personnel politique se sont précipités sur cette affaire pour tenter de mettre un point final à un mouvement qui remet en cause leur toute-puissance morale et les privilèges de caste qui vont avec. A l’image de ce
L’acte XV des gilets jaunes a été un succès à double titre. La mobilisation a quelque peu augmenté (selon les chiffres du ministère de l’Intérieur) et les violences ont été très sporadiques montrant que quand la police fait correctement son travail, les choses se passent bien. Mais pour trouver la perfection, il fallait se rendre
Rédigé par notre équipe le 17 février 2019. Alors que le grand débat n’en finit plus de saouler les Français, des gens bien se donnent du mal pour redresser l’économie du pays. Il y a certes le Gouvernement qui travaille d’arrache-pied, et il y a surtout un individu nommé Alexandre Benalla injustement roulé dans la
Rédigé par notre équipe le 17 février 2019. A chaque samedi son petit événement qui va faire chavirer de plaisir les médias avides d’images à passer et repasser en boucle. Cette semaine, pour le XIVe acte, les gilets jaunes sont tombés sur l’inénarrable Alain Finkielkraut. Les insultes ont rapidement fusé et c’est toute la classe
Alors que l’acte XIV se prépare, la Macronie en appelle à une stratégie qui n’est pas totalement nouvelle. Elle consiste à donner plus de poids à une déclaration et à son auteur qu’ils n’en ont réellement. Ainsi, Christophe Chalençon, une des figures bien connues du mouvement des gilets jaunes est directement promu général putschiste par
Et si le pouvoir macronien se foutait complètement du monde ? Ce sentiment est déjà partagé par des millions de Français, mais il pourrait finir par s’emparer des quelques irréductibles qui souhaitent donner sa chance au produit Macron malgré sa date de péremption dépassée. En effet, non content d’embobiner les Français avec le grand débat, la
Rédigé par notre équipe le 09 février 2019. Le treizième samedi de mobilisation s’achève dans un contexte qui n’a jamais été aussi compliqué pour les gilets jaunes. Sommés de s’extasier devant l’exercice d’auto-promotion de la Macronie appelé grand débat, ils sont plus que jamais criminalisés par un pouvoir qui les accuse de tous les maux.
Etre ministre de l’Intérieur n’est pas de tout repos. Demandez à Gérard Collomb quand bien même son passage place Beauvau a ressemblé à un long et pénible pantouflage. Son successeur, l’insatiable Christophe Castaner est pris dans le tourbillon créé ou alimenté en grande partie par la Macronie elle-même. Immigration folle, trafics qui prospèrent, délinquance en
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