
une bombe à retardement pour Israël
17 juillet 2019
Le 15 juillet, Panamza rapportait le témoignage d’un journaliste américain récipiendaire du récit d’un voisin parisien d’Epstein qui a fait état de la présence régulière de mineures dans son appartement.
Entretemps, des désinformateurs favorables à Israël et actifs sur les plateaux télés ou les réseaux sociaux (telle la “féministe” Stéphanie Lamy) ont tenté d’occulter les nombreuses connexions sionistes et israéliennes du communautariste Epstein.
Aujourd’hui, mardi 16 juillet, plusieurs éléments d’information -exhumés des archives de la presse en ligne- permettent de corroborer l’identification d’un ancien réseau israélien haut-placé (transitant par le Canada et le Congrès juif mondial…) autour d’Epstein, cet Américain titulaire (en bon espion ?) de différents patronymes et d’une résidence saoudienne si l’on croit son passeport “étranger” (dont le pays est passé sous silence par la justice et les médias US…).
Premier exemple : la demeure dans laquelle des viols ou des abus sexuels ont été commis par Epstein (selon plusieurs accusatrices) appartenait à un oligarque juif-américain proche d’Ariel Sharon et co-fondateur (en 1991) d’un club occulte pro-israélien (dénommé Mega et soupçonné d’avoir manipulé Bill Clinton à la faveur de l’affaire Monica Lewinsky) qui a notamment utilisé (via un think-tank de propagande) la mystification (israélienne) du 11-Septembre pour lancer l’invasion (profitable à Israël) de l’Irak.
Son nom :…
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http://www.panamza.com/page-de-compte/niveaux-dadhesion/